lundi 18 novembre 2013
LaboraStup
samedi 9 novembre 2013
Punition auditive !
Yo les nija ! Arrêtez de bouffer du KFC et de vous reproduire ! Je vous propose du vrai sonsse, du lourd plus gros que vos 2 mères réunies en 69 debout, quelques vilaines merdes "musicales" à vomir et insupportables à écouter tellement c'est trop de la chiure de trou de balle chancré et que ça violera vos oreilles pourtant habituées à prendre des queues survitaminées :
Ambiguïté 2000, à la limite du syndrome de Stockholm :
Pablo-Miloud Badass a inspiré Fidel Lachance pour son tube :
Avant Boys Noize et Mr Oizo, y'avait Stephan Eicher :
Tristan est de bonne humeur ce matin et malheureusement il a décidé de le chanter :
Sale gueule, clip de merde et fringues de bourreau de la mode...
Quoi ? Sa musique ?
Quoi ? Sa musique ?
Non non, ne me remerciez pas, ça me fait plaisir !
Votre Guédroblaster adoré
lundi 4 novembre 2013
L'homo vaginatus
A clitoris testiculaire, il se distingue de son ancêtre l'homo sapiens par sa folle soif de foutre et une tendance au tarlouzage consanguin de 1er degré.
On en rencontre fréquemment dans les grandes métropoles mondiales. On ne distingue pas d'origine précise bien que l'Amérique Latine et notamment le Brésil, contiennent de beaux spécimens.
Leur gay-attitude et leur rejet d'amour propre leur ont permis de survivre et de se développer dans les zones à forte urbanisation. L'homo vaginatus (nb : la grosse taffiole en français courant) n'a pourtant aucun atout dans le camouflage. Au contraire, il aime se montrer et s'affirmer parmi les autres espèces étranges de la lignée humaine.
Si l'on devait rapprocher cette analyse anthropologique avec l'univers de l'heroic-fantasy, on pourrait les assimiler aux elfes : fins, sournois, assez intelligents pour constituer des ententes et surtout une hypercroissance céphalique de la zone pederale de leur cervelet (qu'ils prononcent "cèrvelè").
Fort heureusement, certains restent au stade de l'homo sapien, ne dépassant pas l'état comportemental tarlouzoïde qui distingue, avec l'apparition d'un clitoris sous les testicules, l'homo sapiens de l'homo vaginatus.
Bien que protéger par les lois constitutionnelles de certains États, l'homo vaginatus reste déprécier dans de nombreuses sociétés qui, tolérant les différentes pratiques (message de déresponsabilisation), ne supportent pas leur attitude. De surcroit, cette variance génétique poussée à l'extrême peut causer de grands maux à la race humaine.
Voici la solution scientifique la plus efficace contre "les grosses tafioles" (Académie Française Commission lexicographe n°12 du Dictionnaire, août 2013).
Le fusil de chasse à canon scié (ndlr : préférez un calibre 12) est une solution efficace. En effet, l'homo vaginatus a une très faible résistance à la chevrotine ainsi que son souffle. Une cartouche de chevrotine liée devrait en arriver à bout. Bien qu'il serait naturel de tirer sur son appareil génitale (ndlr : lahaul !), préconisez le tire à la tête ou au niveau du plexus, pour une bonne répartition.
Si vous êtes sceptiques quant à cette nécessité, souvenez vous de ce qu'ils ont fait à Batman.
On en rencontre fréquemment dans les grandes métropoles mondiales. On ne distingue pas d'origine précise bien que l'Amérique Latine et notamment le Brésil, contiennent de beaux spécimens.
Leur gay-attitude et leur rejet d'amour propre leur ont permis de survivre et de se développer dans les zones à forte urbanisation. L'homo vaginatus (nb : la grosse taffiole en français courant) n'a pourtant aucun atout dans le camouflage. Au contraire, il aime se montrer et s'affirmer parmi les autres espèces étranges de la lignée humaine.
Si l'on devait rapprocher cette analyse anthropologique avec l'univers de l'heroic-fantasy, on pourrait les assimiler aux elfes : fins, sournois, assez intelligents pour constituer des ententes et surtout une hypercroissance céphalique de la zone pederale de leur cervelet (qu'ils prononcent "cèrvelè").
Fort heureusement, certains restent au stade de l'homo sapien, ne dépassant pas l'état comportemental tarlouzoïde qui distingue, avec l'apparition d'un clitoris sous les testicules, l'homo sapiens de l'homo vaginatus.
L'homo vaginatus en pleine parade amoureuse dans son habitat naturel.
Bien que protéger par les lois constitutionnelles de certains États, l'homo vaginatus reste déprécier dans de nombreuses sociétés qui, tolérant les différentes pratiques (message de déresponsabilisation), ne supportent pas leur attitude. De surcroit, cette variance génétique poussée à l'extrême peut causer de grands maux à la race humaine.
Voici la solution scientifique la plus efficace contre "les grosses tafioles" (Académie Française Commission lexicographe n°12 du Dictionnaire, août 2013).
Le fusil de chasse à canon scié (ndlr : préférez un calibre 12) est une solution efficace. En effet, l'homo vaginatus a une très faible résistance à la chevrotine ainsi que son souffle. Une cartouche de chevrotine liée devrait en arriver à bout. Bien qu'il serait naturel de tirer sur son appareil génitale (ndlr : lahaul !), préconisez le tire à la tête ou au niveau du plexus, pour une bonne répartition.
Si vous êtes sceptiques quant à cette nécessité, souvenez vous de ce qu'ils ont fait à Batman.
NEVER FORGET
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